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Le plaisir et la douleur
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La quête du plaisir

L'évitement de la douleur


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AideLien : L’éthique hédoniste d’ÉpicureLien : Approches de la philosophie d'Epicure
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Histoire : Epicure (-341 / -270) Lettre à Ménécée Histoire : Epicure

Dans sa forme moderne, l'hédonisme épicurien peut se rapprocher de ce que plusieurs appellent « la simplicité volontaire ». En adoptant un mode de vie simple et en rejetant la consommation à outrance que promeuvent les sociétés capitalistes occidentales, les adeptes de la simplicité volontaire développent une manière de concevoir la vie qui s'apparente à l'épicurisme.

Lien : Grands auteurs ayant appuyé la simplicité volontaireLien : Simplicité volontaire et bonheurLien : Livre : Serge Mongeau, La Simplicité volontaire plus que jamais...
LES PHILOSOPHIES DU PLAISIR


De nombreuses philosophies s’appuyant sur la recherche de l’agréable et l’évitement du désagréable ont vu le jour au fil du temps. On emploie souvent le terme d’hédonisme pour désigner ces morales de la recherche du plaisir et de l’évitement de la souffrance.



Pour les philosophes hédonistes, la recherche du plaisir entraîne nécessairement celle du bonheur. Épicure, philosophe de la Grèce antique, est certainement le plus célèbre représentant de cette pensée. Épicure insiste sur l'importance de combler nos plaisirs de manière simple en évitant les excès. Contrairement à ce que signifie couramment le terme « épicurisme » de nos jours, les véritables épicuriens vivaient donc dans la plus grande simplicité, en évitant le luxe et les mondanités.



Pour eux, le bonheur se trouve dans les choses simples de la vie, comme les repas et les amis. Le désir de richesse ou de prestige est le fruit du conditionnement social et doit être évité parce qu'il nous procure souvent plus de mal que de bien.



Violemment combattue par les théologiens, la philosophie hédoniste a été calomniée pendant tout le moyen-âge. Elle n'est véritablement réapparue qu'à partir du XVII ème et XVIII ème siècle à travers la morale sensualiste des philosophes comme Locke, Hume et Diderot.

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